Relations internationales : l'IUT di Corsica tisse sa toile au Québec
Depuis juillet 2006, l’IUT di Corsica et le Cégep de Victoriaville –Québec– sont liés par une entente-cadre de collaboration dont le but consiste à élargir les perspectives et multiplier les expériences de leurs étudiants dans un contexte d’ouverture des marchés et d’internationalisation des échanges. Cette convention est valable aussi bien pour des stages que pour d'éventuelles poursuites d'études. « Il s’agit de favoriser la mobilité professionnelle et l’employabilité de nos futurs diplômés », explique Pierre-Régis Gonsolin, chargé des relations internationales et professeur agrégé d’anglais à l’IUT. « Sachant que le Québec a pour avantage de ne présenter aucune barrière linguistique, ajoute-t-il, chacun aura ainsi la possibilité de découvrir la culture et le fonctionnement des entreprises d’un autre pays, en toute simplicité. De plus, il existe, pour les intéressés, de nombreux programmes destinés à faciliter les différentes démarches relatives à la mise en place des séjours pédagogiques à l’étranger ». De ce fait, le nombre d’étudiants qui emboitent le pas progresse chaque année. Ce qui n’est pas pour déplaire aux deux établissements universitaires professionnalisants. Désireux de promouvoir les partages d’idées, de connaissances et de savoir-faire, ces derniers se sont également engagés à développer des projets conjoints de recherche appliquée et de transfert de technologie. « Nos objectifs communs de coopération s’appuient sur la réciprocité et la complémentarité », poursuit Pierre-Régis Gonsolin. Cet accord de partenariat s’inscrira assurément dans la durée et en appellera d’autres, comme cela a récemment été le cas avec le Cégep de Lévis-Lauzon, tout aussi prestigieux que celui de Victoriaville. « Pour l’heure, le dispositif ne concerne que nos DUT « Génie Biologique » et « Services et Réseaux de Communication » avec leur équivalent dispensé par les Cégeps partenaires de notre IUT au Québec. Mais, il devrait être instauré, prochainement, de part et d’autre, entre chacune de nos filières ayant le même domaine de compétences », conclut Pierre-Régis Gonsolin.
Mercredi 20 juillet 2011